Les jeunes fument davantage, consomment plus d’alcool et de cannabis, ne s’alimentent pas sainement, font peu de sport et souffrent parfois de dépression : lesétudes sur le comportement en matière de santé, notamment des jeunes, dressent un panorama inquiétant. Les enfants, les adolescents et les jeunes adultes doiventêtre en première ligne des mesures d’information sur une bonne hygiène de vie. La Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale (SAP) a défini ce principal groupe-cible pour ses projets dans le domaine de la promotion de la santé et de la prévention d’icià 2009 et a concluà cet effet des conventions de prestations avec la Fondation Santé bernoise et la Croix-Bleue. Ces mesures s’adresseront aussi aux différentes personnes de référence des jeunes tels que les parents, les familles, le corps enseignant, les travailleurs sociaux et les médecins scolaires ainsi qu’aux responsables politiques. La complexité des problèmes impose de traiter ces derniers en réseau, avec des spécialistes de plusieurs domaines.
Les problématiques sont nombreuses : consommation d’alcool, de tabac et de cannabis, nutrition, sport, dépression, suicide, violence, vandalisme, santé sexuelle. Les projets visent par exempleà inciter les enfants et les jeunesà ne pas entrer dans une dépendance ouà avoir une attitude positive face au stress et aux conflits. Les référents adultesà l’école ou dans la formation se voient proposer un soutien face aux situations problématiques et des outils pour réagir aux comportements violents et au mobbing. Les communes sontégalement soutenues dans la mise enœuvre de la protection de la jeunesse dans les domaines de l’alcool et du tabagisme. Le Croix-Bleue est responsable de la coordination et de l’organisation d’achats-tests et Santé bernoise lance dans le canton le projet suisse« Les communes bougent». Dans le cadre de la planification des priorités, la Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale dispose, d’icià 2009, d’une somme d’environ 850 000 francs par an pour le financement de ces projets limités dans le temps. Cette enveloppe s’inscrit dans le crédit de quelque 3,4 millions de francs que la SAP verse annuellementà la Croix-Bleue età la Fondation Santé bernoise pour les prestations de base en matière de conseils de prévention. La somme que le canton consacre aux thérapies des toxicomanies ainsi qu’à la réduction des dommages est, quantà elle, près de dix fois plusélevée.
Pour tout complément d’informationveuillez vous adresserà Mme Corinne Caspar, collaboratrice scientifiqueà l’Office des affaires sociales, Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale, au 031 633 78 87
Les problématiques sont nombreuses : consommation d’alcool, de tabac et de cannabis, nutrition, sport, dépression, suicide, violence, vandalisme, santé sexuelle. Les projets visent par exempleà inciter les enfants et les jeunesà ne pas entrer dans une dépendance ouà avoir une attitude positive face au stress et aux conflits. Les référents adultesà l’école ou dans la formation se voient proposer un soutien face aux situations problématiques et des outils pour réagir aux comportements violents et au mobbing. Les communes sontégalement soutenues dans la mise enœuvre de la protection de la jeunesse dans les domaines de l’alcool et du tabagisme. Le Croix-Bleue est responsable de la coordination et de l’organisation d’achats-tests et Santé bernoise lance dans le canton le projet suisse« Les communes bougent». Dans le cadre de la planification des priorités, la Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale dispose, d’icià 2009, d’une somme d’environ 850 000 francs par an pour le financement de ces projets limités dans le temps. Cette enveloppe s’inscrit dans le crédit de quelque 3,4 millions de francs que la SAP verse annuellementà la Croix-Bleue età la Fondation Santé bernoise pour les prestations de base en matière de conseils de prévention. La somme que le canton consacre aux thérapies des toxicomanies ainsi qu’à la réduction des dommages est, quantà elle, près de dix fois plusélevée.
Pour tout complément d’informationveuillez vous adresserà Mme Corinne Caspar, collaboratrice scientifiqueà l’Office des affaires sociales, Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale, au 031 633 78 87